Construction durable

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L’isolation thermique des planchers est souvent réalisée en projetant de la mousse de polyuréthane (PU) sur place. Depuis le 1er janvier 2023, cette mousse ne peut cependant plus contenir d’agents gonflants à base d’hydrofluorocarbures (HFC). Les matériaux utilisés désormais semblent toutefois plus sensibles aux températures élevées. Une attention particulière est donc requise lors de l’application pour des sols chauffés.

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Pour améliorer de manière significative les performances thermiques d’un mur creux existant au moyen d’un ETICS (voir fiche Détails constructifs 1494 pour les généralités), un certain nombre de recommandations relatives au raccord aux menuiseries doivent être prises en compte dès l’élaboration de la stratégie de rénovation.

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Dans les bâtiments soumis à l’annexe 5/1 de l’Arrêté royal ‘Normes de base’ (c’est-à-dire les bâtiments autres que les maisons unifamiliales, les bâtiments industriels, …), les revêtements de façade doivent satisfaire à des exigences réglementaires en matière de réaction au feu. Plusieurs campagnes d’essais ont permis de développer et de valider de nouvelles solutions de bardages en bois répondant à ces exigences pour les bâtiments bas (h < 10 m) tels que les petits immeubles de bureaux ou d’appartements.

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La massification de la rénovation énergétique nécessite une approche industrialisée.

Cet article s’intéresse ainsi au projet Modul’Air, qui permet une transformation rapide des façades et encourage les partenariats d’innovation. Il sera également question de l’optimisation des tâches grâce aux trains de rénovation de RENO+ et de la démarche européenne Energiesprong, qui intègre tous les aspects de la rénovation industrialisée.

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L’utilisation des eaux pluviales récupérées sur les toitures plates pour des applications courantes telles que l’alimentation des toilettes et l’arrosage des plantes se fait avec succès depuis des années. Dans le contexte actuel de pénurie d’eau, cette pratique gagne encore en pertinence et mérite d’être encouragée. Une étude réalisée par Pieter-Jan De Buyck (VITO, ex-UGent) va plus loin en explorant la possibilité d’utiliser les eaux pluviales pour d’autres applications, avec des conclusions encourageantes moyennant certaines conditions.

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En lutte contre la surchauffe et les inondations, les villes tentent de déminéraliser les sols au maximum.

Adieu asphalte, béton, … Bonjour verdure ! L’usage montre qu’avec les pelouses, le résultat n’est pas toujours aussi performant qu’attendu. La pénurie d’eau vient jouer le grain de sable dans les rouages du processus de végétalisation.

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Environ 215.000 tonnes de sable naturel seront nécessaires pour produire le béton destiné à la réalisation d’un deuxième bassin à marée dans le port d’Anvers. Dans le cadre du projet PIONEERS, subsidié par le programme de recherche Horizon 2020, nous examinons la possibilité d’utiliser le sol sablonneux extrait durant l’excavation du bassin. Les partenaires du projet souhaiteraient ainsi réduire le transport de sable en provenance de la mer du Nord ou de nos pays voisins.