Du mardi 30 novembre au jeudi 02 décembre 2021 – Deux salons accueillent les visiteurs professionnels intéressés par :
Les éléments de construction écologiques tels que toitures, parois ou écrans sont de plus en plus fréquents dans les stratégies de développement urbain durable. Ils contribuent entre autres à accroître la qualité de l’air, à limiter le réchauffement climatique, à créer des réserves d’eau supplémentaires et à développer la biodiversité de nos villes. Ils peuvent aussi être utilisés pour réduire la gêne acoustique à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments.
Les toitures végétalisées sont de véritables trésors en ville. Outre un petit coin de nature ou de culture, elles apportent une isolation thermique et acoustique, participent à la gestion des eaux de pluie, constituent une zone refuge, réactivent les liens sociaux, … Celles qui accueillent un potager encouragent une production de proximité → une agriculture urbaine en toiture.
Vous vous souvenez peut-être de cet artiste anglais, Garin Munro, qui patiemment faisait pousser des chaises à partir de saules ?
Un projet européen, lui, a l’ambition de faire pousser des villes : une surprenante convergence entre robotique, biologie et architecture.
En revêtement de toiture, le couvreur, c’est bien connu, pose la tuile et l’ardoise, voire du zinc et des membranes, tous des matériaux inertes. Et si le vivant partait à sa conquête ?
Le vivant, c’est la toiture végétalisée. Au-delà d’une mode, c’est une solution d’avenir, durable.
Les toitures à rétention d’eau sont des toitures plates sur lesquelles l’eau de pluie est temporairement stockée en vue de délester les égouts. Cette eau va finir par s’évaporer, s’évacuer lentement et/ou être réutilisée (dans le cas d’une toiture verte, par exemple). Découvrez dans cet article les conditions à remplir afin que ces toitures puissent être réalisées sans pente.
Plus souvent évoqué comme une nuisance dans la construction (mérule & consorts), le champignon redore son blason avec les recherches sur les biomatériaux.
L’idée n’est pas nouvelle mais la presse professionnelle en fait état de plus en plus souvent.