En 2006, amener Le Toit Vosgien à se passer d’émetteur de chaleur était déjà un défi colossal en soi. Le pousser dans ses derniers retranchements pour l’orienter vers une construction en paille n’était pas envisageable. Les années ont passé. Le maître de l’ouvrage, Antoine Pagnoux et Vincent Pierré ont poursuivi leur cheminement, leur parcours s’est enrichi.
Un deuxième éco-projet voit le jour : l’ensemble Jules Ferry, 26 logements en collectif livrés fin 2013. Mêmes acteurs, même objectif, un résultat autre.
Pourquoi ?