De nombreuses innovations en matière de technologies numériques contribuent de manière significative à limiter ou à monitorer les risques liés à la stabilité d’un petit bâtiment, que ce soit dès sa phase de conception ou durant sa mise en œuvre, voire son exploitation.

Ces dernières années, l’application des technologies numériques dans le secteur de la construction entraîne un gain de productivité, de qualité et de sécurité. Cette révolution numérique s’appuie sur des réseaux de communication plus performants et des ordinateurs, tablettes ou smartphones aux puissances de calcul toujours plus grandes. Pour de plus amples informations, nous renvoyons le lecteur au CSTC-Contact 2021/1, entièrement consacré à ces nouveaux outils.

Quand la stabilité est en jeu, ces outils aident principalement à prédire, à mesurer, à contrôler, à communiquer et à prendre (rapidement) des décisions. En effet, certains phénomènes d’instabilité se produisent parfois très vite et ont un impact dramatique pour les équipes sur chantier ou les occupants du bâtiment.

Exemples de mise en pratique

La phase d’évaluation de l’existant est souvent caractérisée par l’utilisation de technologies numériques. Ainsi, sur les petits chantiers, certaines dimensions sont très facilement relevées en 2D, voire en 3D, au moyen d’un distancemètre (ou distomètre) semi-automatique ou d’un smartphone sur lequel est installée une application de réalité augmentée (‘Mesures’ sur iOS, par exemple), ou encore à l’aide d’une tablette de dernière génération équipée d’un scanner LiDAR (*).

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