Mise à jour 15/05/20 : le déconfinement est en cours
Mise à jour 15/04/2020 : le confinement est prolongé jusqu'au dimanche 03 mai 2020.
Jusqu'au dimanche 05 avril 2020 - Le confinement à partir de ce mercredi midi fait partie des mesures prises par le Gouvernement suite au le Conseil national de Sécurité (CNS) du 17 mars et ce, pour lutter contre la pandémie du Coronavirus.
Pour le secteur de la construction :
Le Centre Scientifique et Technique de la Construction (CSTC) a annulé ses conférences et formations, comme partout. Aucune raison pour autant de rester inactif. Ces circonstances totalement imprévisibles constituent en soi un défi.
Confinement … et pourquoi pas aussi formation ?
La transformation numérique offre de nombreuses possibilités au secteur de la construction : le BIM, la numérisation 3D, les drones, la robotisation, la réalité augmentée, … Mais quelles technologies peuvent apporter une valeur ajoutée à votre entreprise ? Quels outils vous aideront à être plus efficace ? Le site Internet digitalconstruction.be du CSTC guide les professionnels de la construction dans la vaste étendue des nouvelles technologies numériques.
Pour éliminer la saleté présente dans les installations d’eau potable et améliorer la qualité hygiénique de l’eau après une période de stagnation, il est conseillé de rincer les conduites avant leur mise en service. Ces rinçages sont toutefois rarement mis en pratique. En 2019, le Comité technique ‘Plomberie sanitaire et industrielle, installations de gaz’ a demandé au CSTC de mener une campagne d’essais, afin d’évaluer l’utilité de ces rinçages.
La projection de mousse de polyuréthane pour l’isolation des sols est une technique très largement répandue. On observe néanmoins fréquemment des problèmes de tassements engendrant d’importants dégâts, et ce malgré un cadre de qualité. Le SPF Economie a dès lors subsidié une étude afin d’établir des exigences normatives visant à éviter ces problèmes. Elle a révélé l’impact de l’humidité relative de l’air et de la composition des produits.
On tend aujourd’hui à réduire de plus en plus les émissions des gaz à effet de serre et à utiliser des ressources renouvelables locales. Il est dès lors justifié que l’on cherche à développer et optimiser des matériaux de construction biosourcés (c’est-à-dire d’origine végétale ou animale). De nombreuses équipes mènent depuis quelques années des actions de recherche et de développement dans ce domaine. Le CSTC s’est, quant à lui, consacré notamment aux matériaux à base de chanvre dans le cadre du projet BCC-BAT (*). Cet article aborde les applications de ce matériau dans le secteur de la construction.
Alors que notre modèle de consommation et de vente actuel est principalement basé sur l’achat unique d’un produit par un utilisateur qui en devient propriétaire, de nouveaux modèles économiques développés récemment consistent à vendre la fonction ou l’utilisation d’un produit plutôt que le produit lui-même. Ces modèles appelés as a Service offrent de nombreuses opportunités pour le secteur de la construction.
Pour parachever son travail, le carreleur est souvent amené à réaliser des joints de mastic. Etant donné que le type de mastic détermine les applications pour lesquelles il peut être utilisé, sa durabilité nécessite un choix judicieux du matériau.
Il n’est pas rare qu’un cloquage apparaisse dans le revêtement d’une toiture plate. Les causes de ce phénomène peuvent être multiples. Pour en déterminer la cause exacte, il convient tout d’abord de localiser la couche dans laquelle il se manifeste.
Coller le vitrage dans le profilé présente certains avantages; cela permet notamment un meilleur équerrage et la réalisation d’ouvrants cachés. Mais cette méthode offre-t-elle également la possibilité de renforcer la résistance des angles ?
Ces dernières décennies, le secteur de la construction assiste à un développement de méthodes innovantes telles que la pose collée d’un revêtement en pierre naturelle sur l’isolation de la façade. Toutefois, pour garantir une durabilité de la pierre et écarter tout risque de décollement, il faut prendre certaines précautions.
e nos jours, les générateurs de chaleur sont très peu énergivores. Ceci est dû à l’efficacité de leur échangeur de chaleur. Ce dernier transmet en effet de manière optimale le pouvoir calorifique des gaz de combustion à l’eau du système de chauffage. Pour maintenir cette performance dans le temps, il faut toutefois éviter les dépôts incrustants, car ils ont un impact sur la transmission de chaleur et la durée de vie de l’installation.
En juillet 2018, le Bureau de normalisation a publié une nouvelle version de la norme belge NBN B 15-001, complément indissociable de la norme européenne NBN EN 206 portant sur la spécification, les performances, la production et la conformité des bétons. Cet article présente les prescriptions en vigueur pour la spécification des bétons.
Afin d’évaluer l’efficacité de quelques traitements courants contre l’humidité ascensionnelle (voir également la NIT 252), le CSTC a comparé diverses techniques dans le cadre du projet EMERISDA (Effectiveness of Methods against Rising Damp) mené en collaboration avec des instituts néerlandais et italiens. Plusieurs bâtiments historiques caractérisés par des murs épais, des conditions de séchage parfois difficiles et/ou des teneurs en sels élevées ont été étudiés dans des conditions de chantier. Cet article traite des résultats obtenus grâce aux techniques d’injection et aux méthodes électromagnétiques.
Il y a peu de temps encore, le CSTC-Rapport 19 était considéré comme l’ouvrage de référence pour la conception des fondations sur pieux. Le Rapport 20 publié entre-temps, constitue toutefois une révision de ce document. Le présent article aborde les principales nouveautés : nouvelle catégorie de pieux, cadre de qualité adapté et utilisation de ce cadre dans la pratique.
Appliquer les principes de l’économie circulaire à un projet de construction demande que l’on consacre suffisamment de temps à sa préparation et que l’on puisse traduire les choix effectués en solutions pratiques. Cet article propose un plan par étapes et quelques exemples permettant d’aider l’équipe chargée du projet à faire les bons choix en vue de la réalisation d’un bâtiment adaptable, visant la circularité et un faible impact environnemental.
Il est souvent difficile d’estimer la durée de vie effective des ouvrages en béton. Dans certains cas, on peut observer des dégâts aux structures avant leur fin de vie escomptée. Une méthode quantitative et probabiliste a été développée dans le cadre du projet DurOBet afin d’estimer de manière précise la durabilité des ouvrages en béton en Belgique.
AIM-ES = "Architectural Industrialised Multifunctional Envelope Systems",
des techniques expliquées dans un nouveau guide du Centre Scientifique et Technique de la Construction (CSTC) pour la rénovation préfabriquée.
Depuis sa parution en 2007, la norme NBN EN 13971 est largement utilisée lorsqu’un doute survient concernant la résistance mécanique du béton. En effet, lorsque celui-ci se fissure ou se dégrade prématurément, la conformité de la classe de résistance du béton livré et mis en œuvre peut être aisément vérifiée et comparée à celle du béton commandé. De nombreuses critiques ont toutefois entraîné une révision approfondie de cette norme.
La division ‘Avis techniques et consultancy’ du CSTC observe depuis peu une augmentation du nombre de dégradations des toitures chaudes munies d’une couverture en zinc. Les recherches que nous avons menées révèlent que la protection offerte par le coating appliqué en sous-face du zinc est limitée, ce qui accroît le risque de corrosion en présence d’humidité.
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